Les rôles sexuels 3

On 6 décembre 2014 by dianapsy
suite de: 

La façon de laquelle on fait l‘amour

ou du sexe correspond à notre comportement …
 

serviteur

8.LE SERVITEUR SEXUEL

Il/Elle examine minutieusement les goûts du partenaire, prêt à tout faire pour lui faire le plaisir sans tenir compte à ses propres désirs. Le résultat : pour lui le plaisir est un phénomène rare. L’essentiel pour lui/elle – plaire à l’autre.

Le SERVITEUR SEXUEL doit apprendre à dire « NON » et croire d’être apprécié comme il est.

idéaliste

9.L’IDEALISTE SEXUEL

Être parfait = être aimé. Il/Elle a besoin de faire impression d’être magicien dans la vie et dans le lit. Occupé tout le temps de créer une fausse image exagérée sur soi-même. Il/elle croit que chaque relation suivante est meilleure. Voit la vie en rose. Creuse à trouver le bon et le bien dans un monde parfait, car dans sa vie il/elle a reçu le contraire.

Il/Elle doit enlever ses lunettes roses et accepter les choses comme ils sont. C’est pas possible t’être parfait et chacun a le droit d’être aimé.

provocateur

10.LE PROVOCATEUR SEXUEL

Tout est dit dans le titre – il/elle aime se montrer. Tenter. Provoquer. Exciter. Non attiré par le sexe. Excité de se sentir sexy et provoquant. Sa raison : timidité, incertitude, manque d’attention et négligence dans l’enfance. Son défit serait de soigner son âme d »enfant blessé, comme aussi son désir obligatoirement de charmer et dominer les autres.

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EN CONCLUSION

Sûrement vous trouvez des traits d’un seul ou plusieurs types en vos partenaires. Vous pouvez mеmе vous retrouver 😉 Et si vous vous posez la question «  à quoi ça sert toute cette connerie là » , je vous dirait – soit vous oubliez tout de suite, soit vous profitez pour être la personne que vous étés. Et encore une opportunité : comprendre et soutenir le partenaire à changer son comportement.

Source : Le livre de Barbara de Angelis, consultante de famille « Comment garder l’amour ». Elle affirme qu’elle a échoué dans sa vie personnelles , mais elle croit retrouver son bonheur.

Et pourquoi on ose à conseiller les gens si on ne peut pas résoudre ses propres problèmes ?

Ah c’est déjà un thème pour un nouvel article.

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